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Le PEPS: un défi à renouveler chaque année

ACTIVITÉS SPORTIVES. À Québec, le PEPS de l’Université Laval est une institution, avec tous les défis que ça implique. Parmi les changements apportés pour le début de la session d’automne, l’organisation s’est attaquée à son look vestimentaire.

Parmi les changements apportés pour le début de la session d’automne, l’organisation s’est attaquée à son look vestimentaire. «Par rapport à l’expérience client, nous avons changé les vêtements en location. Nous avons de nouveaux t-shirts et de nouveaux shorts. On avait des vieux vêtements carottés depuis vingt ans, ça c’est parti. On a maintenant des vêtements qualité, au goût du jour», affirme Christian Gagnon.

Selon lui, cette action fait partie de la vision de l’organisation et vient répondre à un besoin. «L’habillement, on avait une volonté de le changer, mais c’est aussi venu du fait que les gens n’en louaient pas. Pour plusieurs personnes, la mode est importante et le carotté n’était pas attirant. On a pris le pari que les gens allaient être plus à l’aise avec de nouveaux vêtements. Je suis confiant que ça va marcher.»

Le départ de Gilles Lépine: «une surprise»

En mai dernier, le directeur adjoint du SAS et responsable du programme Rouge et Or, Gilles Lépine, annonce qu’il quitte pour l’Université de la Colombie-Britannique (UBC).

Pour Christian Gagnon, il s’agissait alors d’une surprise. «Je ne m’attendais pas à ça. Je savais qu’il était pour prendre une retraite dans quelques années, mais je ne m’attendais pas à ce qu’il parte aussi vite. Une fois la surprise faite, nous avons vu une opportunité de revoir des choses. Je suis très heureux d’avoir trouvé Julie [Dionne], qui est une ancienne d’ici, une capitaine, une entraîneure couronnée, quelqu’un qui a fait son coffre à outils avec le RSEQ. D’avoir une femme dans l’équipe, ça amène de la nouveauté et de belles discutions», croit M. Gagnon.

Les défis du quotidien

Pour le reste, la mission du directeur du SAS et de son équipe est de consolider les activités déjà en place. «C’est la continuité des autres années, mais en même temps on veut toujours atteindre le meilleur niveau possible. Nous sommes à l’année deux de notre plan d’action et c’est le service à la clientèle et l’expérience client qui sont les plus importants. Nous voulons répondre aux besoins de tous, mais le PEPS étant très disparate, notre équipe travaille très fort pour voir ce qu’on peut améliorer», explique celui qui est le grand responsable depuis près de quatre ans.

Dans le futur, il se dit très confiant que les installations de l’Université Laval ne perdront rien de leur panache. «Le PEPS, c’est de continuer à évoluer et de continuer à répondre aux besoins des gens. L’innovation va continuer pendant les 5-10 prochaines années, on n’arrêtera pas de s’améliorer.»

Québec Hebdo

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