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L’écriture comme moyen d’évasion

Photo: Métro Média

Depuis ma retraite de l’enseignement du français au secondaire en 2003, j’ai enfin pu me consacrer à une activité à laquelle je rêvais depuis des années, l’écriture. Dans cette foulée, j’ai rencontré l’homme d’affaires Louis Garneau à qui j’avais enseigné en troisième secondaire pour lui offrir d’écrire sa biographie traduite en anglais quelques années plus tard.

Et voilà, l’aventure littéraire était lancée. À partir de ce moment-là, j’arpente la route des écritures qui me conduira sur des chemins aussi variés que la biographie, le roman, la satire, le théâtre, le conte, la poésie et la chronique. Des milliers d’heures de pur bonheur réparties sur plus de quinze ans.

Toutefois, en écrivant ce texte, ce n’est pas de mes écrits dont je veux vous entretenir, c’est plutôt de la sensation d’évasion que vous pourriez ressentir si vous vous adonniez à l’écriture. Bien sûr, vous allez arguer que vous n’avez pas de talent pour l’écriture, que votre vocabulaire est limité, ou que vous avez toujours eu des difficultés avec le français à l’école. Peut-être…

Or, peu importe la forme que prendront vos écrits, c’est le fond qui est important, ce sont vos idées exprimées sur papier qui donneront vie aux mots que vous utilisez pour exprimer vos pensées peu importe que ce ne soit que des mots simples qui sont d’ailleurs souvent les plus riches.

Le syndrome de la page blanche

Une fois que vous aurez choisi le sujet que vous désirez aborder, il vous faudra bien commencer mais comment? Par où? Vous êtes confrontés au « syndrome de la page blanche ». Vos idées se bousculent dans votre tête mais elles n’arrivent pas à s’ordonner de façon à être formulées dans une phrase. Pas de panique, le syndrome de la page blanche est un phénomène tout à fait normal que vivent la plupart des écrivains qui abordent la création d’une œuvre quelconque.

Un petit truc pour se sortir de ce « bouchon » qui entrave le chemin vers la sortie. Je vous conseille simplement d’écrire des mots qui vous viennent à l’esprit et qui ont trait au sujet que vous voulez traiter. Ces mots deviennent votre pierre d’assise sur laquelle la phrase de départ va s’articuler. Et vous voilà partis, vous entrez lentement dans une bulle, vous vous évadez du monde réel pour vous envelopper dans un monde fictif.

Le journal quotidien, un ami fidèle

À ceux et celles qui sont intéressés (es) à plonger dans l’expérience de l’écriture et qui ne se sentent pas à l’aise avec les genres littéraires traditionnels (roman, poésie, conte, etc…), il existe une route toute tracée dans votre tête. Je veux parler du journal quotidien dans lequel vous racontez les événements que vous avez vécus au cours de la journée. Le journal quotidien, un retour dans le passé récent qui, avec le temps, deviendra votre ami le plus fidèle.

Une invitation à mieux connaître l’auteur de ce texte    

Pour ceux qui sont intéressés à en connaître davantage sur mes écrits, vous pouvez consulter mon site personnel en cliquant sur le lien ci-dessous :

https://www.henrimarineau.com/categories/accueil

 

Henri Marineau, un passionné de l’écriture, Québec

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