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Death Stranding: Director’s Cut, mes excuses à Hideo Kojima 

Photo: Photo gracieuseté

Kojima Games a lancé le jeu Death Stranding que je m’amusais à appeler le «Simulateur FEDEX post-apocalyptique» et je dois sincèrement m’excuser après avoir joué au Director’s Cut. 

Adorant les jeux en monde ouvert, j’ai été plus que servi par Death Stranding. C’est définitivement l’expérience la plus intense et complète que j’ai pu vivre depuis longtemps. Oui, l’objectif du jeu demeure de se déplacer d’un point A au point B, mais je vous promets que ce sentiment de «ne faire que ça» est rapidement mis de côté.

Death Stranding est un jeu possédant une expérience de gameplay enrichissante, mais, définitivement, c’est l’histoire qui vous gardera scotché à votre siège et vous donnera envie d’en avoir encore plus. L’idée derrière Kojima, ici, est de vous donner un jeu dans lequel vous vous assoyez sur le sofa, manette en main, et vous vous plongez dans cet univers immersif pour de longues heures sans vous en rendre compte.

L’union fait la force

Kojima est très clair dans ses propos dans Death Stranding: il faut relier la race humaine, car l’union fait la force. Le monde ouvert du jeu est basé que sur ce concept et est la clé de tout, offrant un monde riche à explorer comportant de multiples dangers, mais également une composante sociale nous permettant de rendre tout plus facile ou, à l’inverse, plus compliqué. C’est simple: si nous voyons une zone qui pourrait s’avérer dangereuse, il est possible de laisser une marque dans la zone pour aviser les autres joueurs. Également, il est possible que vous veniez à vouloir traverser une rivière et qu’un autre joueur a déjà laissé une échelle en place.

D’ailleurs, j’ai même reçu plus de 20 000 «likes» sur un cordage laissé sur un flanc de montagne pour que des joueurs puissent descendre en rappel pour accéder plus rapidement à une zone précise. Votre inventaire est plein et vous aimeriez aider les autres? Placez une boite de dépôt et partagez vos objets avec les joueurs pour les aider! Le volet social du jeu est tellement puissant que vous aurez même la possibilité de confier des missions secondaires à d’autres joueurs.

En conclusion

Décidément, Death Stranding mérite toutes mes excuses pour avoir ri de son concept. J’étais loin de voir l’ampleur de celui-ci. Avec les missions additionnelles et les améliorations ajoutées par la Director’s Cut comme l’exosquelette de support qui permet de transporter plus de charges et de gagner plus en stabilité, ça démontre clairement à quel point Kojima aime ce qu’il a créé et veut le montrer.

Que ce soit pour une nouvelle expérience de jeu ou non, ne passez pas à côté de ce chef-d’oeuvre en vous basant uniquement sur l’idée que c’est un «simulateur FEDEX post-apocalyptique», vous risquez de vous en mordre les doigts et de passer à côté d’un jeu qui, finalement, est un chef d’oeuvre, ni plus, ni moins!

Un énorme «MERCI» à PlayStation Canada pour la copie du jeu!

Pour suivre Patrick: https://www.lebetatesteur.ca || http://www.facebook.com/lebetatesteur

 

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