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Aux grands maux, les grands moyens

Au moment où les directives se resserrent concernant la lutte contre le coronavirus, on apprend que des personnes porteuses du virus ou ayant eu des contacts avec des individus porteurs du COVID-19 ou présentant des symptômes de la maladie se promènent librement dans les rues sans coup férir.

Pourtant, ailleurs dans le monde, notamment en Suisse, en Belgique, en France, en Italie, en Roumanie ou en Bulgarie, les contrevenants aux directives émanant de l’État sont sujets à recevoir des amendes allant jusqu’à 775$ canadiens ou des peines d’emprisonnement allant jusqu’à 15 ans.

Or, le Code civil du Québec stipule que « toute personne a le devoir de respecter les règles de conduite qui, suivant les circonstances, les usages ou la loi, s’imposent à elle, de manière à ne pas causer de préjudice à autrui ».

À mon avis, je considère inconcevable que l’insouciance de certains Québécois mettent en péril sans vergogne la santé des citoyens qui les côtoient au quotidien. En conséquence, je suis d’avis que le directeur national de la santé publique intervienne et fasse appliquer la loi contre ces récalcitrants qui font preuve d’une négligence éhontée… Aux grands maux, les grands moyens!

Henri Marineau, Québec

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