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Tribune libre: Dans l’espace de Julie Payette

Décidément, l’environnement autour duquel gravite la gouverneure générale, Julie Payette, a l’heur de susciter des tensions auprès des personnes appelées à la côtoyer. D’abord, une série de plaintes provenant de son personnel ont fait écho dernièrement au climat toxique engendré par le style de gestion de Mme Payette. Maintenant, on apprend que la gouverneure générale a exigé la conception d’un escalier privé estimé à 140 000 $ qui, en passant n’a jamais été construit, et un portail et une série de portes pour empêcher les gens de s’approcher de son bureau au coût de 117 500 $, et toutes ces dépenses pour assurer l’intimité de madame la gouverneure générale.

Or, les gouverneurs généraux doivent renoncer en partie à leur vie privée lorsqu’ils assument le rôle de représentante de la reine au Canada. Toutefois, Julie Payette « voulait aller et venir sans que personne ne la voie », a indiqué une source ayant participé à l’élaboration des plans de l’escalier. Selon des sources fiables, Mme Payette n’aime pas avoir les employés d’entretien dans son champ de vision. Même les agents de la GRC, payés pour la protéger, ne sont plus autorisés à se tenir directement devant la porte de son bureau et doivent se terrer dans une pièce au bout du couloir.

Fort de toutes ces révélations, il m’apparaît évident que Julie Payette n’a ni le tempérament ni la flexibilité pour occuper la fonction de gouverneure générale. Conséquemment, le premier ministre Trudeau, en accord avec la reine Élizabeth II, doivent prendre les mesures nécessaires pour qu’elle quitte ses fonctions à la fin de son premier mandat.

 

 

 

 

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