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Vivement l’arrivée de l’été!

Les fameux nids-de-poule de la province peuvent être dévastateurs pour certaines voitures, au grand plaisir des garagistes. (Photo Depositphotos) Photo: CHRISTIAN_DELBERT

Même si le printemps annonce la fin de l’hiver et apporte un certain réconfort pour ceux qui détestent la saison froide, il n’est pas tout rose. Voici donc quelques inconvénients qui arrivent systématiquement chaque année lors de la «saison molle».

La pluie

«Il pleut, il mouille c’est la fête de la grenouille». Préparez-vous à entendre cette comptine souvent dans les deux mois à venir. Les cheveux qui frisent, les lunettes pleines d’eau, les souliers détrempés, vous n’y échapperez pas. Soyez prévoyant lorsque vous sortez de chez vous et faites attention aux flaques d’eau: un piéton arrosé est si vite arrivé. Surtout, assurez-vous de bien dégager les contours de votre maison et les gouttières pour éviter une accumulation d’eau et une inondation.

Les tas de neige sales et la «sloche»

La neige, si blanche et lumineuse aux premiers balbutiements de l’hiver s’est changée, au printemps, en un mélange de boue, de poussière et de roches peu charmeur. Le paysage qui était alors presque divin est devenu gris et maussade. Marcher dehors s’est transformé en une tâche désagréable en raison de la «sloche» sur le bord de la route à la fin de l’hiver et aux rues constamment sales en milieu de printemps. Et si vous êtes malchanceux et que vous avez un chien à aller promener, bonne chance pour lui nettoyer les pattes en rentrant à la maison sans qu’il salisse quoi que ce soit.

Si vous avez le rhume des foins, vous détestez probablement la saison des bourgeons. (Photo Depositphotos)

Les allergies

Si vous aviez oublié ce petit pépin quotidien de votre vie en hiver, soyez rassurés: vos allergies vont se faire un plaisir de vous le rappeler. Que ce soit la fonte des neiges, le pollen ou les moisissures, votre système immunitaire risque d’être mis à rude épreuve. Mais ne vous en faites pas, vous n’êtes pas seul.

Selon l’étude «État des connaissances sur le pollen et les allergies», parue en 2013, la prévalence à ce type d’allergie est passée de 6% en 1987 à 17% en 2008, et le nombre ne cesse d’augmenter en raison des changements climatiques. Alors prenez une petite pilule et évitez les champs de fleurs sur votre chemin vers l’épicerie.

Les nids-de-poule

Avec le gel et le dégel du printemps, les routes se fissurent, craquent et des trous se forment avec le passage des véhicules. Que vous soyez un cycliste ou un automobiliste, vous avez certainement déjà dû contourner une de ces cavités qui caractérisent si bien les routes québécoises. Gardez donc toujours les deux yeux sur la route pour éviter une mauvaise surprise.

À lire aussi: Les joies du printemps

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