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Sauve-qui-peut… Si vous le pouvez!

LOISIRS. Le cœur battant, les cinq sens aux aguets et l’âme penaude, nous n’avons pu nous échapper du laboratoire. Nous sommes désormais infectées par une terrible pandémie… Du moins, c’est ce que nous proposait le scénario du jeu immersif de l’entreprise À double tour.

Nous étions cinq. Cinq journalistes qui n’avaient (presque) pas froid aux yeux et qui étaient prêtes à affronter le jeu immersif de Myriam Delisle et d’Alexandre Paquette. Fortes de quelques expériences dans le domaine (lire également La revanche des perdants au Défi-Évasion et S’évader ou faire face à la honte), nous étions loin de nous douter que cette expérience nous donnerait autant de fil à retordre.

Pourtant, on nous avait bien prévu que le scénario pouvait nous donner des maux (ou des mots?) de tête, avec seulement 10% de taux de réussite pour la salle Pandémie dans laquelle nous allions être enfermées pendant une heure. Rien n’y a fait, malgré le soutien de l’assistante du chercheur du labo – notre maître du jeu – nous avons dû nous incliner devant l’adversité.

Le souci du détail, que ce soit dans les accessoires, dans les effets sonores ou dans le décor, nous a permis de croire que nous avions quitté le quartier Saint-Roch le temps de notre mission, en plus de nous donner quelques frissons! Le stress décuplé, nous avons peiné à répondre aux énigmes pour sortir de notre salle.

L’entreprise À double tour offre une deuxième salle à expérimenter, La grande évasion, où les joueurs, enfermés à tort dans la prison de St-Roch, doivent trouver leur chemin vers la sortie avant que leur heure n’ait sonné. Une troisième salle, inspirée du monde magique et loufoque d’Alice aux pays des merveilles, est également en préparation pour l’été 2016.

Nos témoignages

«J’ai attrapé le virus mortel de Pandémie en même temps que la piqûre pour les jeux d’évasion proposés par À double tour. Malgré notre échec– sommes toutes retentissant – à endiguer le virus mortel, j’ai adoré le réalisme de l’expérience et le souci du détail. Je dois aussi avouer, moi qui me vante de ma bravoure, que j’ai eu un petit peu peur. Mais juste un peu là!» – Thaïs Martel

«Des énigmes et des défis qui vous plongent directement dans la thématique. Un défi très immersif qui saura donner la frousse aux plus braves…» – Monica Lalancette

«J’étais de loin la plus trouillarde du groupe, mais mes collègues m’ont quand même convaincue d’embarquer avec elles. Et quelle bonne décision! Oui, c’est stressant et oui, ça fait peur, tenez-vous-le pour dit. Mais on ne peut qu’être sous le charme dans les décors plus que réaliste d’À double tour.» – Prisca Benoit

«Moi qui croyais être une vraie peureuse, j’ai su faire preuve de bravoure pour aider mon équipe à s’évader… jusqu’à plus de la moitié du défi. C’était ma première expérience en jeux d’évasion, et je suis complètement charmée par le concept. À double tour nous met complètement dans l’ambiance du lieu où on se trouve et il est certain que je vais retenter l’expérience, avec plus de succès je l’espère.» -Marie-Pascale Fortier

«J’étais novice dans ce genre d’expérience et j’ai vraiment apprécié. Malheureusement mon cerveau non scientifique a eu beaucoup de mal à trouver les éléments de réponse aux énigmes de Pandémie. Ça partait dans tous les sens, je ne savais pas trop où chercher. Heureusement, mes brillantes collègues ont pu faire avancer le shmilblik. Nous avons quand même perdu, je me sens la mort dans l’âme et souhaite faire preuve de davantage de déduction la prochaine fois!» – Perrine Gruson

Québec Hebdo

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