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Besoin criant d’administrateurs à la Société artistique de la Haute-Saint-Charles

CULTURE. La Société artistique de la Haute-Saint-Charles peine à garnir son conseil d’administration. Quatre postes d’administrateur sur sept devront trouver preneur lors de l’assemblée générale du 17 septembre, sans quoi la Société pourrait être placée en «dormance».

Le président du conseil d’administration de la Société artistique de la Haute-Saint-Charles, Rémi Vallières, invite la population à se présenter en grand nombre à l’assemblée générale du 17 septembre. (Photo TC Media – Monica Lalancette)

«Le soir du 17 septembre, c’est là que les gens vont prendre la décision», commente le président du conseil d’administration, Rémi Vallières. Tous les postes seront alors redistribués, poursuit-il, et quiconque veut s’investir au sein du C.A. aura sa chance.

Le recrutement est difficile, explique M. Vallières : «Durant toute l’année on essaie de recruter, cependant, la réponse, je l’avoue très honnêtement, c’est négatif.» En revanche, le président a bon espoir que ses efforts en vue de l’assemblée générale porteront fruits : «Pour l’instant, je communique avec des gens qui disent oui».

Démission de la vice-présidente

Parmi les postes à pourvoir, celui laissé vacant par l’ex-vice-présidente, Nathalie Chabot.

«Je quitte le cœur léger et sans me soucier pour demain d’avoir réussis mes mandats depuis 2006», écrivait-elle sur la page Facebook de la Société, fin août.

«Comme le président le faisait savoir dernièrement la société est à bout de souffle et c’est le temps aux membres de participer sinon elle tombera dans l’oubli. Elle a besoin de vous…», concluait-elle.

«Dormance»

Advenant que le conseil d’administration de la Société artistique de la Haute-Saint-Charles ne parvienne pas à combler tous ses sièges, la Société pourrait être placée en «dormance», affirme Rémi Vallières.

«Certaines activités vont rester quand même», avance-t-il, mentionnant les ateliers de peinture du mercredi qui réunissent une quinzaine de peintres ou encore les expositions. «Mais si les gens ne veulent pas s’impliquer, certaines autres activités pourraient être laissées de côté.»

S’engager au sein du C.A. suppose de participer à huit rencontres par années, précise le président.

La Société peut autrement compter sur une forte participation de bénévoles pour l’organisation des divers événements, conclut M. Vallières, qui insiste que le financement n’est pas non plus un souci.

Québec Hebdo

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