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Entente pour la protection de la grive de Bicknell

OISEAUX. L’Université Laval et le Séminaire de Québec ont récemment signé une entente de 40 ans «afin de préserver un habitat faunique pour la grive de Bicknell, un petit oiseau de la même famille que le merle d’Amérique menacé de disparition en raison de la perte et de la modification de ses habitats».

La grive de Bicknell

(Photo gracieuseté – Phillip Kenny)

Le partenariat a été officialisé par un bail de conservation d’une valeur de 40 000$, dont l’Université Laval sera titulaire.

Le projet sera financé financé par la Fondation de la faune du Québec.

«La création de cette aire protégée de 40 hectares située à l’est de la Forêt Montmorency, près du parc éolien de Saint-Tite-des-Caps, constituait un défi, car aucun outil de conservation disponible ne permettait de protéger efficacement l’habitat de la grive de Bicknell en terre privée», a indiqué le président-directeur général de la Fondation de la faune, André Martin.

Pour le vice-recteur exécutif et au développement à l’Université Laval, Éric Bauce, il s’agit d’un projet de conservation important. «L’aire désignée va être appelée à se déplacer dans le temps et dans l’espace. Donc, au fur et à mesure que la forêt vieillira, le Séminaire de Québec pourra s’assurer de maintenir pour la grive de Bicknell 40 hectares d’habitats propices pour permettre la nidification de cet oiseau et perpétuer ainsi la présence de l’espèce sur la Seigneurie de Beaupré.»

TC Media

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