Bourses Schulich Leader: super coup de pouce à deux universitaires locaux
ÉDUCATION. Étudiants à l’Université Laval, Laurie Dauplaise et Simon Gauthier se distinguent au programme Schulich Leader. Il s’agit de la plus importante initiative canadienne de soutien à la formation en science, technologie, ingénierie et mathématiques (STIM). Ils obtiennent respectivement une bourse de 80 000$ et 100 000$, pour réaliser leurs études de premier cycle.
Parmi plus de 350 000 candidats potentiels à travers le pays, 1400 étudiants ont été recommandés comme candidats Schulich Leader. Cette année, 100 d’entre eux ont été sélectionnés comme lauréats de ces généreuses bourses d’études.
À propos des lauréats
Âgée de 18 ans, Laurie Dauplaise est diplômée du Cégep de Sorel-Tracy. Elle commence cet automne le programme de baccalauréat en physique. «Je désire faire carrière dans ce domaine à prédominance masculine et ainsi inspirer d’autres femmes à faire de même. D’ici 10 ans, je rêve de faire découvrir la recherche en physique à la relève. Aussi, je veux organiser des activités visant l’inclusion et l’amélioration des conditions de vie de tous», indique la lauréate.
Également âgé de 18 ans, Simon Gauthier est diplômé de l’École de la Rose Sauvage, à Calgary en Alberta. Il entame cet automne le programme de baccalauréat en génie physique. «J’ai l’intention de travailler dans le domaine des énergies nouvelles. Je rêve de transformer la fusion nucléaire en une énergie propre et accessible à tous. Je crois que cette énergie changera l’avenir de notre planète et je souhaite faire partie de ce changement», déclare le boursier.
À propos des bourses Schulich Leader
Conscient de l’importance et de l’impact croissants des disciplines STIM sur la prospérité des générations futures, l’homme d’affaires et philanthrope Seymour Schulich établit, en 2012, un fonds de 100M$. Son objectif vise à soutenir les meilleurs étudiants, afin qu’ils deviennent des pionniers de l’innovation et de la recherche scientifique à l’échelle mondiale.
«Leurs études universitaires étant payées, ils pourront consacrer leur temps à leurs projets de recherche, leurs activités parascolaires et leurs initiatives entrepreneuriales. Ils forment la prochaine génération d’innovateurs technologiques.» – Seymour Schulich