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Québec passe de la parole aux actes

ENVIRONNEMENT. Misant sur son développement récréotouristique, la Ville de Québec retient les services professionnels de la firme Rousseau Lefebvre inc., de Laval, pour l’élaboration d’un plan de mise en valeur des rivières du Cap Rouge, Saint-Charles, Beauport et Montmorency. Ce contrat représente un déboursé de 335 000$.

Ce projet de développement récréotouristique de la rivière Montmorency pourrait amener davantage de touristes à moyen terme.

(Photo – Archives)

En mars, le gouvernement du Québec remettait 17 M$ à la Ville de Québec pour la mise en œuvre du Plan de quatre rivières traversant la Capitale-Nationale auquel s’ajoutaient 11 M$, provenant du Programme triennal d’immobilisations de la Ville de Québec.

Depuis les années 1980, beaucoup d’efforts sur l’amélioration de la qualité de l’eau de ses cours d’eau se traduisent par l’élaboration et l’exécution de nombreux plans directeurs touchants plusieurs rivières de son territoire. Les plans directeurs, datant de plusieurs années, visaient des interventions très précises à l’intérieur des parcs linéaires riverains. La plupart des actions prévues ont été complétées.

«Le succès du projet de revitalisation et de dénaturalisation de la partie urbaine de la rivière Saint-Charles justifiait l’attribution de cette somme», commentait en mars Sébastien Proulx. Dans le cadre de cette nouvelle démarche de planification, des consultations publiques ont été réalisées à l’été 2016 et le concours international d’idées Rêvons nos rivières s’est tenu en 2017. Les propositions, issues du concours, servent à élaborer un plan divisé en cinq étapes.

En mars, Régis Labeaume concédait que des efforts importants devaient être faits afin d’assainir les rivières, les préserver et les mettre en valeur. «Notre objectif avoué est de redonner accès à tous les cours d’eau de la ville afin que les citoyens puissent y pratiquer des activités récréatives. Cela va de pair avec la qualité de l’eau de nos rivières», confiait-il en point de presse.

Il rappelait à ce moment que certaines de ces actions seraient réparties sur une période de deux ans, alors que d’autres s’échelonneraient sur trois ans, cinq ans, voire 10 ans.

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