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L’entreprise beauportoise Gladius lance deux nouveaux jeux de société

La clé pour qu’une soirée de jeux de société soit réussie, c’est de laisser les gens faire leurs équipes selon Jean-François Baril. (Photo gracieuseté) Photo:

LANCEMENT. Jean-François Baril et Alex Perron se connaissent depuis longtemps et les deux comparses possèdent une passion commune pour les jeux de société. Il est donc naturel pour les deux personnages publics de vouloir partager ce hobby avec le public québécois.   

«Je suis très friand des jeux de société et je joue régulièrement avec ma famille et mes amis. Alex vient souper régulièrement à la maison et dès que le souper est terminé, on se met à y jouer. Les invitations sont même faites en conséquence pour avoir des vrais amateurs de ces jeux», affirme d’entrée de jeu Jean-François Baril.

«C’est vraiment du sérieux chez J-F et personne n’aime perdre. C’est plaisant d’avoir un enjeu et de s’obstiner entre amis, ça fait partie du fun», ajoute Alex Perron.

Alex Perron apprécie que son jeu soit facile à transporter. (Photo gracieuseté)

Si on ne peut douter de l’authenticité de la passion des deux humoristes pour ce type de passe-temps, on ne peut pas non plus douter du sérieux placé dans leur jeu respectif. «Nous ne sommes pas des prêtes-noms, ce sont des jeux qui nous ressemblent. Nous avons travaillé tous les deux à leurs conceptions. Je connais Gladius depuis mon association à La Guerre des clans la et j’ai lancé le jeu Connexion l’an dernier et cela a bien marché. Cette année avec le jeu T’aimes-tu ça?, je reviens à la charge avec un jeu qui continue à encourager le dévoilement de confidences et d’anecdotes. Même s’il est possible de jouer de façon indépendante, le jeu se veut une continuation de Connexion», affirme avec conviction Jean-François Baril

Pour Alex Perron, qui lance le jeu Improvise-moi ça!, l’idée première derrière son jeu de société est purement ludique. «Nos jeux sont faciles à comprendre. La simplicité est importante et en dix minutes, nous pouvons commencer à jouer. Le but est que les familles aient du plaisir à jouer et je suis conscient que ce n’est pas tout le monde qui prend ça autant au sérieux que J-F et moi», mentionne à la blague celui qui a été attiré par le défi de lancer son premier jeu de société.

Alex Perron a commencé à faire de l’improvisation à l’école secondaire et sa passion s’est poursuivie au cégep. Une activité qui l’a aidé à avoir sa carrière actuelle. «J’aimais faire rire les gens et pratiquer l’improvisation m’a aidé à développer une certaine confiance en moi. Le but de mon jeu n’est pas de développer des professionnels, mais simplement de faire découvrir le plaisir que l’on peut avoir à faire de l’improvisation. J’ai même eu des professeurs qui m’ont mentionné qu’ils allaient acheter le jeu pour faire pratiquer aux élèves en classe. C’est très flatteur.»

Les écrans

Les deux défenseurs des jeux de société voulaient ajouter un dernier argument avant de terminer l’entretien. «À l’approche du temps des Fêtes, c’est évidemment un temps privilégié pour être avec les siens. Nous pensons que c’est aussi un temps où l’on peut délaisser le cellulaire et la technologie pour avoir des moments interpersonnels avec la famille. Une façon d’y arriver c’est d’utiliser nos jeux.»

Les jeux Gladius sont entièrement produits au Québec par la compagnie beauportoise qui divertit les familles depuis 1996.

Les jeux lancés par les deux vedettes du petit écran sont en vente au prix de 16,99$. (Photo gracieuseté)

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