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Le présumé agresseur de l’Université Laval libéré

TRIBUNAL. De retour en Cour pour subir son enquête sur cautionnement, mardi matin, le suspect d’une récente agression sexuelle qui serait survenue dans une résidence étudiante de l’Université Laval a pu recouvrer sa liberté. Mohammed Medhi Ghanmi devra toutefois respecter plusieurs engagements, en attendant la suite des procédures.

La police de Québec est intervenue, la semaine dernière, à l’Université Laval pour une autre agression sexuelle.

(Photo TC Media – Archives)

L’universitaire âgé de 25 ans a été accusé d’un chef pour agression sexuelle, vendredi dernier, au palais de justice de Québec. Le délit reproché serait survenu quelques jours plus tôt, à la résidence Alphonse-Marie-Parent.

Étudiant à la maîtrise en administration, Ghanmi avait été arrêté la veille de sa comparution, après qu’une plainte pour agression sexuelle ait été déposée contre lui. Selon le récit des événements, l’individu connaissait la plaignante. Il s’agirait d’une étudiante dans la vingtaine. C’est un proche qui a dénoncé l’affaire.

Remis en liberté par le juge Steve Magnan, l’accusé doit respecter plusieurs conditions, dont un engagement 1000$ sans dépôt, l’obligation de rester à résidence et l’interdiction de communiquer avec la présumée victime.

À la suite de cette autre histoire à caractère sexuel, la direction de l’Université Laval a exclu Ghanmi du campus, en plus de le suspendre de ses cours pour la durée des procédures judiciaires. Selon le Service de police de la Ville de Québec, il n’y a aucun lien entre cet événement isolé et la série d’agressions sexuelles dénoncées l’automne dernier dans le même pavillon.

TC Media

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