D’une profonde tristesse!
Le cas de la tuerie de deux jeunes enfants à Wendake est d’une profonde tristesse, plus basse que le 3e sous-sol! Encore une fois, comme c’est l’habitude trop souvent, la santé mentale aura fait payer deux anges innocents et la parenté.
Selon les observateurs, trois signalements auraient été faits à la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) concernant le tueur et le potentiel danger latent susceptible d’apparaître aux deux enfants, dit-on! Mais encore une fois, la DPJ échappe le ballon dans un habituel laxisme. Celle-ci joue dans ce même film depuis trop longtemps!
Ne soyons pas surpris dans les prochains jours de voir les stigmatisés fonctionnaires aux réactions molles, champions « pousseux » de crayons et vertueux de bureau, contester et riposter sans ambages à la grogne citoyenne et ainsi sauver leurs emplois!
À la lumière de ce qui précède, l’auguste DPJ préfère avec impétuosité protéger ses emplois. mais pour sauver des enfants c’est autre chose, n’est-ce pas! Au fait, pour quoi sont-ils payés? Que conclura la Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse ( CDPDJ ) dans un an? La valeur de la DPJ s’effrite-t-elle?
Michel Beaumont, Québec