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Assez, c’est assez!

En juin 2018, après avoir créé une controverse sur les réseaux sociaux avec la publication d’un message invitant à un débat sur la « vasectomie obligatoire à 18 ans », la présidente de la Fédération des femmes du Québec (FFQ), Gabrielle Bouchard, s’est empressée de préciser que son message était une provocation dans le but d’attirer l’attention sur le droit à l’avortement.

Or, mardi le 28 janvier, Mme Bouchard récidive avec la même « stratégie » en affirmant sur Twitter qu’il était « peut-être temps d’avoir une conversation sur l’interdiction des relations hétérosexuelles », toujours dans l’intention de provoquer la discussion, cette fois-ci, sur les féminicides.

De par ses fonctions de présidente de la Fédération des femmes du Québec, Gabrielle Bouchard se doit d’incarner la crédibilité qui lui incombe, à savoir de représenter toutes les femmes du Québec. En faisant preuve d’un manque de jugement et d’une maladresse aussi patente, je suis d’avis qu’elle n’a plus sa place à un poste aussi important, et que, par conséquent, elle doit être destituée illico de ses fonctions pour incompétence.

On devrait apprendre de ses erreurs, dit une sage pensée. Eh bien, manifestement, Gabrielle Bouchard ne tire pas profit de ses gaffes monumentales… Conséquemment, la FFQ se doit de lui montrer la sortie pour retrouver sa crédibilité… et conserver la contribution de 120 000 $ du gouvernement québécois… Assez, c’est assez!

Henri Marineau, Québec

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