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BoJo dans la cage à homards

Dans l’impasse depuis des mois, le Brexit, qui a coûté son poste de premier ministre à David Cameron, puis à sa successeure Theresa May plus tôt cet été, a été approuvé en juin 2016 avec près de 52 % des voix.

De son côté, le troisième premier ministre désigné depuis le référendum, Boris Johnson, vient de subir deux fins de non-recevoir de la part des députés de la Chambre des communes [du jamais vu], eu égard, d’une part, à l’officialisation du Brexit au 31 octobre 2019, et d’autre part, à la tenue d’élections anticipées le 15 octobre.

De ce côté-ci de l’Atlantique, j’ai beaucoup de difficultés à comprendre les raisons pour lesquelles un vote de 52 % en faveur du Brexit, tenu démocratiquement auprès des Britanniques, ne fasse pas foi de placet pour la mise en branle du processus de sécession du Royaume-Uni de l’Union européenne.

Pourquoi, plus de trois ans après la tenue du référendum, la Chambre des communes agit comme si la démocratie était reléguée dans le placard au profit de tergiversations procédurales sans fin retardant indument les débats, voire les paralysant littéralement?

Henri Marineau, Québec

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