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Ode au lien de sang entre un fils et sa mère

Imprimé chez Essor-Livres Éditeur, le livre de 114 pages est vendu 19,95$ en librairie. Photo: Gracieuseté

LECTURE. En guise de premier roman, Maxime Langlois a opté pour une autofiction basée sur sa vie personnelle et, surtout, sa relation maternelle. Comme il suffit parfois d’un simple déclencheur pour amorcer une rédaction, dans son cas ce fut la découverte du journal de vie de sa maman deux ans après son décès prématuré. Voilà l’essence du contenu de son récit intitulé L’amour d’une mère.

Dans ce court livre d’à peine plus d’une centaine de pages, l’auteur partage son admiration pour sa défunte maman emportée par la sclérose en plaques en 2009. Il s’agit d’un récit qui rend hommage à ses qualités que sont la résilience, la détermination, l’acceptation de soi et l’amour indéfectible de celle qui lui a donné la vie.

«Je n’ai pas connu une enfance comme les autres. J’ai vécu toute ma vie avec une mère malade, mais toujours souriante, gentille, attentionnée envers moi et mon frère. Je pense que ce livre fait ressortir l’espoir. Il faut continuer d’avancer dans la vie même quand tout va mal», relate le résident de Sainte-Foy sur le point de compléter une maîtrise en didactique du français.

Par ce roman, Maxime Langlois veut honorer le passage de sa maman sur Terre et transmettre sa voix. Même si elle a quitté ce monde, il estime que les lecteurs gagneront à s’imprégner de sa douceur, sa sincérité et son courage, ainsi que de ses peines et ses souffrances. Malgré la sclérose en plaques qui l’a empêchée de marcher et de vivre une vie normale, l’inspirante dame est restée le pilier de sa famille.

Métro Média

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