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Troisième roman pour Émilie Turgeon

La professeure-auteure beauportoise, Émilie Turgeon, vient de signer son troisième roman Le silence est D’OR’ . Le lancement du livre coïncide avec le début du Salon international du livre de Québec le 11 avril prochain. 

Émilie Turgeon a enseigné dans plusieurs écoles secondaires différentes et enseigne présentement à la Polyvalente de Charlesbourg

Photo gracieuseté

Alors que les deux premiers romans étaient publiés dans la Collection jeunesse Tabou aux Éditions de Mortagne celui-ci utilisera la même maison d’édition sans toutefois faire partie de la même collection. «Je suis confiante que le livre connaisse du succès même s’il n’est pas dans la Collection jeunesse Tabou. Je pense que le sujet va rejoindre un plus grand nombre de personnes», précise la professeure de français à la Commission scolaire des Premières-Seigneuries.

L’histoire racontée est celle d’une jeune adolescente de 16 ans qui avait subitement perdu l’usage de l’ouïe à l’âge de huit ans. Mystérieusement, elle retrouve la fonction de ses oreilles seulement avec la présence d’un garçon près d’elle. Pour résoudre ce mystère, la jeune femme devra affronter son passé tout en essayant de multiplier les présences près de l’adolescent dans cette aventure qui prend place dans la ville de Québec.

«J’ai pris une année à écrire l’histoire dans mes temps libres. J’ai fait plus de recherche qu’à l’habitude et j’ai même consulté une spécialiste de la clinique Lobe pour comprendre la surdité. Dès que j’ai appris qu’il était possible pour des gens de devenir sourd de façon instantanée, j’ai cherché à  en savoir plus sur le sujet. Il y avait quelque chose qui m’interpellait dans ce phénomène psychologique et physique», ajoute la femme originaire du secteur Courville.         

L’amour de la lecture

La romancière voue un plaisir à tout processus de création qu’il soit en couture, en rénovations ou en cuisine. La jeune femme de 34 ans avoue qu’elle a toujours aimé écrire. «J’aime raconter des histoires, mais il est possible que ça vienne de mon amour de la lecture. Je trouve qu’il y a trop de livres avec des fins prévisibles et j’essaie d’incorporer des histoires surprenantes à mon style d’écriture.»

C’est le même amour qu’elle tente d’enseigner à ses élèves. Il arrive même à plusieurs de lire les romans de leur professeure durant les périodes de lecture.

Si le même effet se produit chez les élèves dans un futur immédiat, il y aura peut-être un autre auteur avec des aventures rocambolesques. 

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