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Deuxième tome pour l’auteure Jeanne-Mance Guay

LECTURE. Alors que son lectorat lui réclamait une suite pour son premier roman, voilà que l’auteure de Beaupré, Jeanne-Mance Guay, vient de lancer le second roman de son héroïne, Le labyrinthe de Marguerite.

L’enseignante de Beaupré recyclée en écrivaine avait sorti son premier livre, Les silences de Marguerite, en octobre 2012. «Les deux tomes se lisent très bien indépendamment l’un de l’autre, estime Mme Guay. On me dit souvent qu’ils captent l’attention, qu’on les commence et qu’on ne peut plus s’arrêter de lire.»

Dans le deuxième volet de la série, l’étudiante Marguerite Valcourt s’est finalement libérée des méfaits de son oppresseur, désormais emprisonné. Elle doit néanmoins réussir à déjouer les pièges qu’il lui tend, tout en vivant pour la première fois de sa vie les passions de l’amour. Amitié et mystère se mêleront à ses histoires. «L’histoire est plus dramatique que dans le premier tome», juge l’auteure.

Tout comme son premier livre, Jeanne-Mance Guay a mis du temps à finir cette suite, alors que trois ans se sont écoulés depuis la première parution. «J’ai une grande famille à laquelle j’accorde beaucoup de temps, raconte-t-elle. Ça ne m’empêche pas d’écrire, parce que j’ai toujours été portée sur le crayon.»

Un livre accessible

Jeunes et moins jeunes pourront trouver leur compte dans ce deuxième livre qui, bien que plus intense, n’est toutefois pas trop osé. «J’ai des lecteurs qui vont de 15 à 82 ans, révèle Mme Guay. Tout comme le premier livre, c’est écrit en toute simplicité. C’est un divertissement.»

Enseignante pendant plus de 35 ans sur la Côte-de-Beaupré, Jeanne-Mance Guay a notamment tiré de ses cinq ans à l’école secondaire de Mont-Sainte-Anne l’inspiration pour le milieu de vie de son héroïne. «Comme enseignante, on lit et on corrige des centaines de textes de nos élèves, raconte-t-elle. Ça m’a beaucoup aidé pour mes livres.»

Ce deuxième tome est pour l’auteure une réalisation personnelle pour laquelle elle n’a pas d’attentes pour le succès. «J’ai comme philosophie qu’il vaut mieux essayer que regretter», lance-t-elle.

Le lancement à Beaupré s’est très bien passé aux dires de l’auteure. Pour elle, il s’agissait d’une réunion «conviviale et familiale» autour de son deuxième roman. Un second lancement aura lieu dans sa région natale à Saint-Léon-de-Standon le 1er novembre.

Québec Hebdo

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