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Un nouveau jeu questionnaire de bluff par les éditions Gladius

JEU DE SOCIÉTÉ. Gladius a récemment lancé un nouveau jeu questionnaire basé sur les connaissances générales. La clé du succès: inspirer confiance et être crédible pour influencer ses partenaires de jeu.

Tentez d’inspirer la confiance de vos amis pour les influencer vers la mauvaise réponse.

(Photo TC Media – Perrine Gruson)

À tour de rôle, les participants pourront tenter de duper leurs adversaires en lisant l’une des deux affirmations sur un même sujet. Ceux-ci devront ensuite déterminer si l’affirmation est vraie ou fausse. Tous les autres joueurs peuvent influencer la décision en tout temps en donnant leur point de vue.

C’est en écoutant la radio que les concepteurs des Éditions Gladius ont eu l’idée de développer ce jeu que l’animateur radio matinal Martin Dalair fait dans le cadre de son émission. Le jeu Fais-moi confiance a donc été développé en étroite collaboration avec WKND 91,9 et Leclerc Communication.

Vrai ou faux?

Le jeu contient 1284 énoncés, en voici quelques-uns.

«Le geai bleu pratique le «formicage», c’est-à-dire qu’il prend un bain de fourmis». C’est vrai, l’oiseau utilise l’acide formique des fourmis pour se débarrasser de ses tiques et autres parasites du plumage.

«À l’origine, le club-sandwich était fait avec du steak plutôt que du poulet ou de la dinde». C’est faux, à l’origine le club-sandwich ne comportait qu’un seul étage, soit deux tranches de pain.

«Chez les crevettes nordiques, les jeunes naissent mâles, puis deviennent femelles en vieillissant». C’est vrai, la crevette nordique est hermaphrodite protérandre.

«Le gâteau forêt-noire nous vient d’une région de l’Allemagne appelée la Forêt-Noire, et c’est pourquoi il porte ce nom». C’est vrai, son nom allemand Schwarzwälder Kirschtorte signifie «gâteau à la cerise de la Forêt-Noire».

«Le bout des capuchons de stylos à bille est troué pour faire sécher l’encre, sinon elle s’écoulerait sans cesse». C’est faux, le bout des capuchons de stylos à bille troués sont faits ainsi pour permettre à quelqu’un de continuer à respirer en cas d’étouffement accidentel.

Notre verdict

«J’ai trouvé difficile d’influencer mes collègues vers une réponse à partir d’un simple vrai ou faux. Il faut dire que nous n’étions que trois à jouer, je conseille donc de jouer à plus de trois personnes pour pouvoir vraiment interagir sur les affirmations et s’influencer entre nous. Toutefois, les affirmations sont parfois très poussées, on voit qu’il y a un gros travail de recherche derrière ce jeu». -Marie-Pascale Fortier

«On voit que les concepteurs ont fait beaucoup de recherches, les questions sont excellentes. Toutefois, je suis un peu resté sur ma faim. Je ne sais pas si c’est parce que nous n’étions que trois, de piètres influenceurs ou le fait qu’une partie ne dure que cinq tours, mais j’en aurais voulu plus. Le jeu a quand même un bon potentiel» -Mathieu Turgeon

«Fais-moi confiance, il y a mieux comme jeu! À six ou sept joueurs, il est peut-être possible de semer le doute dans l’esprit de nos adversaires en les convainquant de nous faire confiance, voire de les duper – bien qu’avec des vrai ou faux, ils auront toujours 50% de chances d’avoir la bonne réponse – mais à trois, ça devient vite redondant, tout simplement. Quand on a appuyé quelques fois sur le bouton qui nous sert un « fais-moi confiance » à toutes les sauces, on a fait le tour du côté ludique du jeu… Reste que les questions sont nombreuses et variées.» -Thaïs Martel

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