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Combat entre vampires et loup-garous!

Dans quel clan êtes-vous? Vampire ou loup-garou? Le conflit existant depuis la nuit des temps entre ces deux espèces fantastiques est le thème qu’ont choisi les organisateurs de la 11e édition du festival du film fantastique québécois Vitesse Lumière.

Le festival – pour les 18 ans et plus – mélangeant les oeuvres de science-fiction, d’horreur et de surréalisme du 7e Art installe ses pénates au studio P le 10 juin et au Musée de la civilisation, du 11 au 13 juin.

Le 5 à 7 d’ouverture de Vitesse Lumière se permettra quelques petites incartades en présentant des films d’autres styles que la programmation habituelle, tels vidéos d’art et courts-métrages policiers.

Cette année, 21 courts-métrages (sur 150 soumis) seront en compétition officielle pour se disputer les prix Météor, remis samedi le 12 juin, notamment dans les catégories d’effets spéciaux les plus spectaculaires, l’excellence des maquillages ou la meilleure tuerie.

Le cinéaste Éric Tessier (Sur le seuil, 5150, rue des Ormes), le directeur du festival international de films Fantasia Marc Lamothe et le cinéaste indépendant Éric Bilodeau, forment le corps du jury.

Carnior, président-fondateur de Vitesse Lumière et membre de la défunte série Phylactère Cola sur les ondes de Télé-Québec, ne veut pas ravir le rôle du jury, mais il a souligné en conférence de presse ce matin que Massacrator (Pierre Ayotte, Montréal), Infernal Gluttony, a love story (David Charbonneau, Québec) et Fantasme (Izabel Grondin, Montréal) l’ont particulièrement plu.

Robert Lafontaine alias DJ Kronos, vice-président de l’événement, a spécifié que depuis quelques années, des longs métrages arrivent au bureau du festival. «On les présente hors festival pour offrir la plus grande variété possible pendant l’événement, donc des courts-métrages. Jusqu’à maintenant, on a présenté hors festival près de 6 longs métrages», a-t-il indiqué.

Le président de Vitesse Lumière a souligné aussi que le festival n’est pas seulement constitué de projections de courts-métrages. Deux ateliers se greffent au festival: l’un sur les droits d’auteur et l’autre sur les effets spéciaux du 3D.
«Les droits d’auteur, c’est très important. Ça permet de présenter l’œuvre à d’autres personnes que maman et la famille. Ça évite aussi de se faire voler son idée», a-t-il résumé.

Ceux et celles qui veulent en savoir plus sur le personnage de Carnior peuvent visionner une vidéo de confidences sur un canapé en cliquant sur le lien suivant: http://video.google.com/videoplay?docid=8880407861940154819&ei=VWrrS57NHtLj-AaZ0aj6Cw&q=%22steve+landry%22#

Pour connaître tous les détails de Vitesse Lumière: www.vitesselumiere.org

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